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ABI-ALFA
Last updated: 9 décembre 2024 23h33
ABI-ALFA
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RESTRICTION DES LIBERTES INDIVIDUELLES

Objectif pour les uns, défi à
relever pour les autres

Le Togo est devenu une République à part. Au TOGO, tous les secteurs sont en déconfiture et rien n’encourage le citoyen à vivre au Pays, ceux qui y vivent endurent une situation inexistante sous les autre cieux. Pour un oui ou pour un non, tout togolais peut voir ses droits brimer de la plus violente des manières. Mon pays est le seul en Afrique où des chefs traditionnels postulent dans les kiosk pour tenter une chance au programme américain de la loterie visa. L’injustice a élu domicile dans les départements qui sont sensés êtres les garants de la justice. Pour parler de la justice, de façon universelle, le droit et l’application de ses textes sont des pratiques mathématiques, mais au Togo, l’application des textes de droit est conditionnée à l’humeur et à l’agenda des politiques, au bon vouloir de Mr le juge, de l’homme politique, du plus forts. La loi n’existe que pour les fort, ironisait un prof de droit de l’université de Kara. Les exemples on peut citer de façon loisible. Votre journal Le Rendez-vous’’ vous annonçait il y’ a un temps que trois citoyens Togolais, arrêtés arbitrairement le 27 Janvier 2022 pour leur appartenance au Parti National Panafricain (PNP), ont été « libérés d’office » le 31 août 2022. Ceci fut possible après un grand combat devant les tribunaux. Mais malgré la décision de justice, ils seront encore gardés en prison par le Procureur Général. Par un abus d’autorité, le Procureur va refuser d’apposer sa signature sur leur fiche de libération. Ceci est aussi l’irréfutable preuve des traditionnels traitements dont fait preuve la justice togolaise contre des citoyens que le régime considère comme des adversaires politiques à son règne à vie. Le citoyen togolais savait sa justice injuste et capable de toute la contorsion à la solde de l’agenda politique de la fratrie qui régente le pays, mais il a fallu l’avènement du violent vent du 19 Aout pour que l’homme politique et son magistrat laissent vraiment tomber le masque. Il ne peut pas en être autrement car aux grands maux, il faut les grands remèdes. Le grand mal du Togolais est la volonté de ses dirigeants à s’éterniser au pourvoi. Cette ambition est la raison d’être de Monsieur Mr Faure Gnassingbé à la tête du Togo depuis 19 ans. Dans les cercles décisionnels du pouvoir, tous les jours sont faits pour cogiter à comment s’éterniser au pouvoir. Ces devenue une ambition maladive qui a mis un frein au développement du pays, qui a banaliser le respect des droits humains et a donné un coup fatal à l’avenir du Togo est le passage à la cinquième République. La dernière trouvaille dans cette politique est donc l’actuelle immersion dans la cinquième République. Au Togo, être d’une obédience politique autre que celle du régime est un crime. S’ils ne le savaient pas encore, les jeunes militant du PNP, des marches du 19 aout à la sulfureuse affaire dite Tigre de la Révolution, ils l’on apprit à leur dépens. Il ne fait pas bon d’appartenir à l’opposition au Togo, plus grave encore au PNP. Le choix d’appartenir à cette audience est presque criminaliser et quand il vous arrive un problème devant les tribunaux, c’est la croix et la bannière pour trouver un auxiliaire de justice pour afin de défendre votre cause. Les affaires liées à ceux qui osent avoir une conviction politique contraire à celle de ceux qui gouvernent sont surveillées comme du lait sur le feu. On se rappel, le jour où le domicile du leader du PNP a été saccagé alors qu’il était en clandestinité, le parti a cherché terre et ciel sans trouver au Togo un huissier assez courageux pour juste faire le constat des lieux saccagés. D’où ce coup de chapeau à Maître AMAZOHOUN Ekouévi Ferdinand pour son professionnalisme dans certains dossiers hautement signalés au Togo. c’est un habitués de ces genres de situation que aucun avocat ne veut défendre, c’est d’ailleurs le pourquoi il est souvent recommandé aux victimes par les diplomaties présentes au Togo. C’est souvent lui qui defend les victimes dont les sorts sont connus avant jugement, ceux du PNP principalement. C’est lui le conseil de ces militants dont la libération ne dépendait pas du droit mais de l’humeur du Procureur. Tout ceci en face d’un silence complice du premier magistrat. Que signifiait le silence de Mr le Président? Est-ce la preuve que les détenus politiques, surtout quand ils se réclament du PNP, sont des détenus personnels de la dictature ? Tous les moyens sont bons pour réduire au silence toute velléité de contestation. Tous les maillons de l’économie nationale tombent en lambeaux, l’avenir se lit en pointillé et chaque rendez-vous électorale envoie une vague de Togolais en exile. Chaque période de contestation est suivie d’une longue série de représailles qui envoie systématiquement les jeunes en clandestinité. De l’affaire Tigre pour retourner aux contestations du 19 aout 2017, ceux qui se sentent menacés et qui n’ont pas pu quitter le payer sont actuellement l’éternelle décoration de la prison civile de Lomé. Chaque citoyen qui ose défier l’ordre établi doit s’apprêter à porter sa croix. Des manifestations publique du PNP a l’affaire Tigre, les jeunes KPAKPATROU Charifoudine et Ouro Koura Achraf ont retenu la leçon. Ils vont commettre l’indélicatesse de s’afficher au PNP sans prendre de précautions.
En février 2019, la maison d’Achraf a été perquisitionnée par les forces de sécurité, et tous les membres de la famille dont lui-même violemment molesté, il fut soigné à domicile par un parent. Ils ont été battus pour l’engagement politique du jeune Achraf.
Le résumé de l’histoire de Achraf, est que : «Né le 15 mai 1992 à Sokodé dans la préfecture de Tchaoudjo, au Togo. Il a rejoint le Parti National Panafricain (PNP) en 2017, dans l’espoir d’un avenir meilleur pour notre pays. En février 2019, sa maison a été perquisitionnée par les forces de sécurité, et tous les membres de sa famille ont été battus pour leur engagement politique. Lors de cet évènement, il a été déshabillé, jeté par terre et frappé à mort. Il a été gravement blessé à la tête, aux côtes, aux deux bras car il tentait d’éviter les coups à la tête au genou droit. Par crainte d’être arrêté, il s’est soigné à la maison avec des méthodes traditionnelles. Leur chef de groupe, MOUMOUNI Ganiou, ainsi que plusieurs jeunes militants, ont été arrêtés et emprisonnés dans des conditions inhumaines. Il a reçu des convocations en 2023 visant à l’intimider. Le 16 mai 2023, face à une répression croissante, des convocations ici et là, et une arrestation encore avec des sévices violents qu’il va avoir la chance de faire soigner par un médecin traitant cette fois-ci avant de quitter le pays espérant vivre en sécurité et exercer son métier de revendeur sous d’autres cieux. Son histoire reflète la lutte de nombreux jeunes Togolais qui fuient l’oppression et la violence du gouvernement.»
Il faut dire que, au temps fort de la crise, certains quartiers de Lomé certains villages et villes comme Kparatao et Sokodé, entre autres, pouvaient à tout moment être, encerclés et les populations coucher par terre puis passer au tabac dans les maisons, les femmes à terme fuirent obligées d’accoucher en brousse. Lors de l’une de ces descentes dans son quartier, il va être déshabillé, jeté par terre et frappé à mort. J’ai été gravement blessé ici et là, c’est par chance que il a survécu. Il va se faire soigner à la maison car en ces périodes les centres de santé ne sont plus des lieux sûrs. On se rappelle qu’à Sokodé des ONG ont assisté impuissantes aux maltraitances des malades dans des lieux de soin, Assibah Jonson en sait beaucoup et il l’a souligné de un rapport qui n’a pas plus au régime. Tout comme lui-même, le chef de groupe de KPAKPATROU, tout comme plusieurs autres jeunes vont vivre la même expérience et certains même arrêtés tel que MOUMOUNI Ganiou, KPAKPATROU Charifoudine ainsi que plusieurs jeunes militants, avant d’être libérés après de sévères corrections corporelles dont certains vont en mourir. Dans l’affaire Tigre 08 personnes sont officiellement mortes des tortures dans leurs détention dans un camp de la police de Lomé. Menaces sur menaces après ces violences à chaque fois qu’une inquiétude politique se pointe Achrafe et ses ami vont fuir vers le GHANA, ou leur vie se passait en clandestinité entre Accra et KUMASSI selon les moments. Finalement revenus au pays, ils constate bizarrement que la garde n’est pas baissée jusqu’en 2023 avec cette dernière arrestation et bastonnade à son retour du Ghana, pour certains zélés, arrêter des jeunes, les torturer et les relâcher est devenu comme un sport afin que la peur du gendarme permettre de les discipliner. La solution souvent, il faut quitter le pays. que , car en cas de besoin, des forces de sécurité du Togo traversent aisément des frontières voisines pour arrêter les détracteurs. 

Ainsi il en est de nombreux jeunes qui aspirent au Changement. La peur des représailles ont divisé des familles. KPAKPATROU Charifoudine vivait quant à lui chez son oncle, mais il en sera expulsé à cause de son engagement aux côtés du Parti National Panafricain (PNP). Comme si cela ne suffisait pas, une grande manifestation soutenue par tous les autres regroupements politiques a été lancée par son parti pour exiger les réformes politiques et institutionnelles et le retour à la constitution de 1992. C’est ainsi que la marche bâtait son plein vers le centre-ville quand la manifestation a été prise en étau par les forces de l’ordre et la garde présidentielle. D’après le témoignage de l’ONG Novation internationale, un groupe de militaires avait poursuivi le sieur KPAKPATROU Charifoudine, que depuis ce jour, l’intéressé a souvent été poursuivi, et recherché et contraint à vivre dans la clandestinité dans son propre pays en 2017 déjà l’intéressé a été arrêté à la sortie de la prière du soir à la mosquée par des individus habillés en noir et cagoulés et lourdement armée; c’était pour l’affaire Tigre. L’ong atteste que le sieur KPAKPATROU Charifoudine a été amené dans un camp qu’il ne connaissait pas. Il tombait ainsi aux mains des agents de la FIR, Force d’Intervention Rapide, qui arrêtaient dans le cadre de l’affaire Tigre, uns sulfureuse affaire qui garde actuellement des gens à la prison civile de Lomé. Il va y subir des traitements « cruels, inhumains et dégradants ; l’ONG reconnait que depuis lors, le sieur KPAKPATROU Charifoudine vit dans la clandestinité jusqu’à ce que de bonnes volontés ne l’accompagnent pour fuir le Togo pour le Ghana et éventuellement vers d’autres destinations sûres où des sociétés civilisé respectent les droits des êtres humains». En effet, les investigations de la Novation Internationale, UNE ONG DES DROITS de l’homme avancent que jusqu’à ce jour, la vie du sieur KPAKPATROU Charifoudine est toujours menacée bien qu’il soit aujourd’hui hors du pays. Sa famille continue d’être menacée et intimidée car en effet depuis août 2017.
Appartenir au PNP n’est pas tâche facile. Même les réunions hebdomadaires du PNP à ses différents sièges dans les villes, sans oublier les impossibles marches de contestations du 19 aout, tout est bon pour photographier et ficher les partisans pour ensuite les poursuivre. Le Sieur Taïrou Fousseni, père de famille basé à Sokodé après un long séjour en Allemagne en a fait la triste expérience au point de traverser encore une fois les frontières de son pays pour sa sécurité. Il n’est pas pourchassé pour les marches, mais il fait partie d’une liste qu’on accuse de financer le PNP. Vrai ou faux ? Ce qui est certain est que ce jeune père de famille, organise des jeunes qui distribuent à bord de tricycles des sachets d’eau, ‘’Pure Water’’ aux manifestants, ils sont nombreux les jeunes engagés qui le font qui de cette distribution d’eau, leur activité pendant les marches, Taïrou Idrissou en est un. Ils le font par citoyenneté pour apporter une modeste pierre à la lutte de libération, et cela ne demande même pas un grand budget si ce n’est le courage et l’engagement des jeunes sur le terrain des marches. Ici on accuse ce Monsieur aussi d’être un bras financier de son parti, le pire, pour la dictature c’est aussi lui qui est derrière les locations des chaises plastiques qui servent aux réunions hebdomadaires à Sokodé sa base et lieu de résidence. Un soir, il revient trouver son domicile saccagé et sa femme a été sauvée par son absence de la maison à ce moment du saccage des militaires et milices. Le Fait de rentrer au domicile d’un citoyens et tout casser pour protéger la dictature et monnaie courante en tems de troubles politiques. Entre temps des accusations pareilles ont fait arrêtées à Lomé et gardé des citoyens dans les geôles de la gendarmerie alors que ce sont de fausses accusations. Des cadres et jeune de la communauté tem ont été en tout cas assez accusé et parfois leur passeports confisqué un bon moment, parfois à tort de financement de ce parti qui en réalité n’a pas eu besoin de grands moyens financier pour faire le mouvement du 19 Août 2917. D’une famille KATAKPAOU connue proche de la dictature togolaise, Mr TAÏROU Fousséni, supposé avoir des moyens du fait qu’il ait fait déjà l’aventure en Allemagne, un possible revirement de ce monsieur vers cette opposition radicale ne peut pas être du gout de la dictature qui va utiliser tous moyen pour l’affaiblir. Tous les moyens sont bons dans un Etat où l’expression des libertés civiles est occultée par l’expression des libertés militaires. La loi sur la liberté de manifester est abolie par une violence militaire exercée par une armée qui a divorcé d’avec sa déontologie. L’armée est devenue une milice organisée qui agit, non pas parce que la Nation est menacée, mais, parce que la survie d’un groupe au pouvoir est menacée. Selon les difficultés que traverse la fratrie au pouvoir, les pôles de décisions se contredisent dans l’armée. En matière de violation des droits humains, tous les secteurs sont en panne. Ainsi en est-il des traditions ou les successions sont forcées. La succession à un chef traditionnel défunt peut être l’objet d’une cavale militaire et de représailles ou menaces réelles contre un citoyen qui verrait la situation sous un autre angle. Mr TCHROKO Hoavenou Gabriel sait désormais que, même de leur lieux de repos où ils sont enterrés, on ne blague pas avec les ancêtres et les règles sociaux qu’ils ont institué. Un défit à ces règlements qui peut faire basculer la vie de quelqu’un. Mécanicien de profession, ce garçon du nom de TCHROKO HOUDENOU Gabriel croyait qu’on peut choisir de désobéir à la tradition parce qu’on nourrit d’autre ambitions. Il va tardivement apprendre la leçon après le décès du chef de son village. Alors qu’il était celui que la succession a choisi pour perpétuer les habitudes, il s’y oppose catégoriquement. C’est sans compter que les méthodes de la dictature fonctionnent même au cimetière. Convoqué par le conseil coutumier du village pour s’entendre dire qu’il est pressenti pour replacer le défunt chef, il refuse de répondre à l’invitation du conseil traditionnel. En fin de compte il va se voir garder plusieurs jours au commissariat de la localité dans des conditions de détention à la limite de la torture. Au troisième jour il est écouté par le commissaire devant le conseil qu’il avait refusé de rencontrer. Tour à tour, ils lui ait signifié qu’il n’avait pas de choix au risque de provoquer les mânes, il doit obéir ou séjourner en détention le temps de la réflexion. Il refuse toujours et tout le monde part le laisser aux policiers qui le ramènent en cellule. Il va profiter de l’aide et la complicité d’un pasteur très influent, qui combat les traditions dans le village pour quitter la cellule et traverser la frontière du Ghana. Pendant qu’il se sauvait ainsi, les guerriers de la tradition s’apprêtaient à le faire la cérémonie d’intronisation.
Il faut relever que les traditions on tellement la peau dure que, une telle résistance à la tradition est pour les parents de l’audacieux fils un affront qui vaut la mort de leur fils ou la malédiction. Espérons qu’il pourra avoir des ancêtres cléments qui ne vont pas le maudira ou le tenir rigueur pour sa sécurité pour le reste de sa vie.

La Rédaction

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